Publié le
Après un bac en psychologie et un certificat en coopération internationale, Christina Popescu est prête à aller plus loin dans ses intérêts. Adolescente, elle s’intéressait déjà à l’environnement en collectionnant des coupures de journaux sur le réchauffement climatique et la pollution. En débutant sa maîtrise en sciences politiques, elle cherche à s’impliquer de façon concrète dans un domaine qui lui tient à cœur et commence alors à donner du temps pour promouvoir les paniers bio lors de différents événements auxquels Équiterre participe.
Mais elle veut également comprendre comment fonctionne une organisation non-gouvernementale. Elle devient bénévole à la réception pendant plusieurs mois avant de postuler pour un stage en énergies renouvelables, expérience qu’elle qualifie de « tellement enrichissante ». Son mandat consiste à faire des recherches et à documenter l’énergie hydrolienne sous forme de fiches pratiques.
Pour cette étudiante qui aime apprendre constamment et aiguiser son regard critique, ce stage est l’occasion parfaite d’approfondir un sujet qui l’intéresse beaucoup, sans nécessairement se lancer dans des études…mais la piqûre est déjà là, et Christina s’inscrit en parallèle à un cours à distance sur le développement durable.
L’environnement : une passion qui se confirme!
L’expérience dans une OBNL lui plaît aussi beaucoup. Organisation du travail, implication des gens de l’équipe, projets stimulants, autonomie, tout lui confirme qu’elle se verrait bien y travailler. « Je voulais voir à quoi ressemble le travail dans ce type de milieu et si je suis capable de m’y débrouiller. Mon stage m’a confirmé encore plus mon intérêt de travailler pour l’environnement et dans un organisme comme Équiterre ».
Dans l’immédiat, Christina se consacre à la rédaction de son mémoire de maîtrise sur l’accaparement des terres agricoles en Afrique de l’Ouest, sujet auquel elle ajoute une touche environnementale en abordant les effets du réchauffement climatique dans la dynamique actuelle, ainsi que les conséquences pour les populations locales. Et dans le futur? « Une fois ma thèse finie, c’est clair que j’aimerais approfondir mon intérêt pour l’environnement. Je resterai donc pas loin d’Équiterre », lance-elle.
C’est plutôt bien parti! Merci Christina pour ton précieux coup de pouce et au plaisir de collaborer dans de futurs projets!