Étape 1
Envoyez un courriel
Manifestez votre opposition à votre député(e) en lui écrivant un courriel!
En cours
Si nous n’agissons pas massivement, le projet de 3e lien entre Lévis et Québec risque d’être lancé.
Alors que la science nous pousse à réduire nos impacts sur l’environnement et le climat, il est inconcevable d’investir des milliards en fonds public dans un développement autoroutier dont les besoins n’ont pas été démontrés!
la liste des raisons pour se solidariser face à ce projet est longue!
3%
Les déplacements des centres-villes Lévis-Québec représentent moins de 3 % du trafic de la grande région en heure de pointe du matin. Un achalandage marginal qui ne peut justifier la construction d'un projet aussi dévastateur pour notre fleuve, notre climat et notre environnement.
Le gouvernement Legault ne prévoyait pas la complétion du processus d’évaluation environnementale et du dossier d’affaires du projet avant 2025. Par ailleurs, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) ne sera interpellé qu’à partir de 2023.
En l’absence d’analyse d’impact environnemental ou de simple étude environnementale, Équiterre, en collaboration avec le Pôle intégré de recherche – Environnement, Santé et Société (PIRESS), a développé le premier test climat qui évalue la compatibilité environnementale du projet du 3eme lien avec les impératifs de la transition écologique.
Le 3eme lien a échoué à ce test climatique qui se présente comme un outil d’aide à la décision dans le contexte de crise environnementale et climatique.
pdf - 5.85 mb Test Climat sur le 3ème Lien - Rapport
Voir le document« L’analyse est claire : le troisième lien ne passe pas le test de la transition écologique. Il ne devrait pas aller de l’avant si l’on souhaite agir en bon gestionnaire et avec cohérence dans la lutte contre la crise climatique »
En démontrant massivement notre opposition au projet, le gouvernement n’aura d’autre choix que de reculer.
Manifestez votre opposition à votre député(e) en lui écrivant un courriel!
Joignez votre voix à la nôtre! Déjà, plus de 50 000 personnes ont signé la pétition.
Directrice adjointe, Relations gouvernementales
Porte-parole