Published on
Comme l’a si bien dit Benjamin Franklin, le père de la confédération américaine, il y a deux choses qui sont certaines dans la vie, la mort et les taxes.
Pour la mort, je peux seulement vous encourager à bouger et à manger bio pour la repousser le plus possible! Pour les taxes, tant qu’à les subir, pourquoi ne pas en profiter pour faire le bien?
Bon, j’ai écrit « subir » en pensant à vous, mais je rectifie d’entrée de jeu : personnellement, j’aime bien l’impôt sur le revenu. Que 40 ou 50 % de mon salaire soit prélevé pour que l’on finance les universités, les écoles publiques, les centres de la petite enfance, les hôpitaux et les CLSC, cela me convient parfaitement. Pour moi, c’est le même sentiment que de faire un don. Je me sens solidaire de mes concitoyens. Je me sens aussi privilégié de profiter de ces services de qualité. Par contre, payer la taxe de vente de 15 % quand je vais au resto me rend moins heureux.
Pour lire la suite du billet de blogue de Sidney Ribaux, veuillez vous diriger ici.